9h – Accueil des participant.e.s
9h05-10h05 – La fiction comme fabrique de l’Histoire
Modération : Marie Lecrosnier–Wittkowsky, Cassandre Martigny
9h05-9h20 – Maxime Berges (CELLF, Sorbonne Université) – « Nos œuvres ne portent en elles ni maturation ni silence. Ce sont des œuvres de révolte et de combat » : André Chamson et le paradoxe de l’écrivain engagé.
9h20- 9h35 – Sophie Marty (REMELICE, Université d’Orléans) – Enquête, fiction et hybridité générique : le traitement du marronnage dans Biografía de un cimarrón, de Miguel Barnet (1966), et Nègre marron, de Raphaël Confiant (2006).
9h35-9h50 – Lynda-Nawel Tebbani (École du Breuil) – Quand la littérature algérienne fait l’Histoire de la nation : le roman comme miroir et prisme de la fiction politique.
9h50 -10h05 – Questions.
10h05-10h20 – Pause
10h20-11h20 – Littérature et Histoire : échanges et complémentarité
Modération : Émilie Gauthier, Lucas Kervegan, Cécile Meunier
10h20- 10h35 – Apolline Ponthieux (CELLF, Sorbonne Université) – Retrouver la sociétaire derrière le « monstre sacré » : vérité historique et construction littéraire autour de la démission de Sarah Bernhardt.
10h35-10h50 – Marie Davidoux (CERILAC, Université Paris Cité) – De la concentration et de la vaporisation de l’Histoire : la barricade de Juin 1848 dans les romans.
10h50-11H05 – Auriane Hernandez (centre Roland Mousnier, Sorbonne Université) – Pour une compréhension de la conjugalité : la littérature comme source essentielle pour saisir les normes et les pratiques de la relation conjugale au XVIe siècle.
11h05-11H20 – Questions.
11h20-12h05 – Quand la littérature réécrit l’Histoire
Modération : Apolline Ponthieux, Typhaine Sacchi
11h20-11h35 – Mina Apic (Université de Novi Sad) – Réécrire l’histoire, ou tenter de la préserver : la tentation du mal dans l’uchronie d’Eric-Emmanuel Schmitt.
11h35-11h50 – Émilie Gauthier (CELLF, Sorbonne Université) – Exorciser son histoire par l’autofiction dramatique : l’exemple de Claudel et son Partage de Midi (1905).
11h50-12h05 – Questions.