Comment poser la question du mal après 1945 ? Cet essai, issu de la thèse de doctorat soutenue en 2014 sous la direction de Didier Alexandre, déploie les modalités de ce discours dans la France littéraire d’après-guerre. La notion de terreur sert de fil conducteur pour reconstruire le champ littéraire, entre modernité esthétique et tradition romanesque.